Dans une série de nominations récentes, le ministre sioniste de la Guerre, Israel Katz, a refusé la désignation de deux officiers en raison de leur implication potentielle dans les échecs qui avaient entraîné le 7 octobre.
L'opération « Tempête Al-Aqsa » du Hamas a mis en lumière des défaillances au niveau du renseignement, de l’armée et des responsables politiques israéliens.
En avril, le major général Aharon Haliva, chef du renseignement militaire, fut le premier officier à reconnaître sa responsabilité dans la défaite sécuritaire du 7 Octobre et à annoncer sa démission. En juin, Avi Rosenfeld, commandant de la division de Gaza, lui a emboîté le pas, selon Le Monde. Yossi Sariel, le chef de l’unité 8200, l’élite du cyber-renseignement, a suivi en septembre. Le chef du Shin Bet – les renseignements intérieurs – de la région sud d’Israël a, lui aussi, quitté son poste.
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